Être formateur : Accompagner ses apprenants vers la réussite professionnelle !
29 août 2022
Accompagnateur, coach, enseignant, conseiller... Quel est réellement le métier du formateur ?
Tout au long de notre vie professionnelle, nous sommes amenés à rencontrer et travailler avec des formateurs et ceux à des fins diverses : intégration en entreprise, mise à niveau, rappel de compétences... Toute excuse est bonne à prendre pour participer à des sessions de formation !
Du jeune adulte à l’université au salarié expérimenté en entreprise, les formateurs sont présents pour vous accompagner tout au long de votre carrière. Son rôle est de vous fournir de nouvelles compétences, en mettant à votre disposition des connaissances dans un domaine en particulier.
Depuis la crise sanitaire du Covid-19, le métier de formateur tend à muter de plus en plus vers le digital avec l’apparition de nombreux modules de formation réalisés en e-learning. Ainsi, le formateur est devenu un couteau-suisse prêt à aider ses apprenants en présentiel, mais aussi en distanciel, et parfois même dans des zones géographiques très éloignées.
Le rôle du formateur : être la source du savoir de ses stagiaires !
Spécialisé dans un ou plusieurs domaines professionnels, le formateur est en charge de transmettre ses connaissances auprès de ses apprenants, par le biais de sessions de formation programmées.
En tant que chef d’orchestre et conseiller, le formateur doit continuellement s’adapter à son public, mais aussi à ses besoins, qui divergent selon le cadre dans lequel est effectué le métier des apprenants.
Souvent en réponse à un commanditaire externe, entreprise ou organisme de formation spécifique, le formateur construit ses modules de formation en corrélation avec des objectifs spécifiques prédéfinis. Ainsi, il sera amené au cours de sa carrière à proposer de multiples formations sur un même sujet avec l’apparition d’angles totalement variés et divergents.
N'importe qui peut-il devenir formateur ?
Titulaire d’une formation spécifique dans son domaine de prédilection, le formateur doit également posséder des qualités dites “naturelles” ou "innées" pour mener à bien son métier et ses missions quotidiennes.
Comme la plupart des métiers aujourd’hui, le métier de formateur est un métier souvent exercé par passion. La passion du partage et l’envie de communiquer avec autrui sont souvent les moteurs pour exercer ce métier.
Vrai couteau-suisse, être formateur est un métier qui demande un grand sens de l’adaptation. En effet, au cours de sa carrière, le formateur est amené à travailler avec des personnes de profils, d’âges et de compétences totalement divergentes. Par ce biais, le formateur doit aussi apprendre à démultiplier ses techniques d’apprentissages pour s’adapter aux différents profils auxquels il sera amené à rencontrer car, rappelons-le, tous les individus n’apprennent pas de la même façon et certaines méthodes d’apprentissages sont plus à même de satisfaire certains, quand d’autres préféreront la méthode opposée.
Quelles sont les qualités requises pour devenir formateur ?
Le formateur doit faire preuve de patience avec ses apprenants, il doit les accompagner dans leur apprentissage avec bienveillance et doit également être organisé. De plus, il doit savoir improviser pour faire face à toutes les situations et pour appréhender tous les profils d’apprenants qu’il rencontrera.
Le formateur est une personne dite “autodidacte” car malgré son expérience dans son domaine de prédilection, il devra continuer à se former par sa propre volonté tout au long de sa vie.
Attiré par les sujets d’actualités, le formateur doit apprendre constamment des éléments qui l’entourent pour enrichir ses modules de formation, les remettre au goût du jour et proposer des cours sur-mesure en fonction des besoins de son public.
En règle générale, le formateur réalise une veille régulière à 360° sur ses domaines de formation afin d’être en capacité d’innover et de sortir de sa zone de confort pour proposer à ses apprenants des techniques d’apprentissages innovantes et efficaces qui leurs permettront d’évoluer avec plus d’efficience.
Quelles sont les compétences d'un formateur ?
Le formateur d’aujourd’hui n’est plus celui d’hier. Tout comme les besoins des apprenants évoluent, ce métier mute petit à petit.
Aujourd’hui, et d’autant plus depuis la crise sanitaire du covid-19, le formateur doit savoir maîtriser les outils digitaux. En effet, de nombreuses formations se sont digitalisées passant d’un format “présentiel” à du “e-learning”.
Pour faire un bref aparté sur la digitalisation du domaine de la formation, ce phénomène a engendré une opportunité nouvelle pour les entreprises qui ont découvert un moyen de former leurs salariés, présents sur différents sites, avec des coûts réduits par rapport au passé. En effet, une entreprise qui évoluerait avec des locaux présents un peu partout sur le territoire français, voir même dans le monde, se verrait pénalisée en voulant réaliser une formation à tous les employés d’un secteur X ou Y car cela demanderait soit la mise en place de multiples sessions de formation sur les différents pôles, bien qu’il y ait alors parfois très peu d’apprenants sur chaque pôle, soit le paiement des déplacements de l’ensemble des salariés sur un même site ce qui coûte non seulement du temps, de l’énergie, mais aussi de l’argent.
Aujourd’hui, avec le e-learning, les entreprises peuvent profiter de formation où leurs employés apprendraient simultanément depuis chez eux ou depuis leur bureau.
De plus, le e-learning propose des avantages organisationnels : plus besoin d’imposer un rendez-vous aux employés, ceux-ci peuvent apprendre à leur rythme et se connecter à la formation quand ils le désirent. La formation est donc devenue davantage “autonome”.
Généralement, les formateurs font le choix de mettre en place des classes virtuelles pour donner suite aux sessions e-learning et pour ancrer les compétences acquises lors de la formation avant le passage à l’évaluation, si celle-ci a lieu. Cette classe virtuelle est un moment très important pour formateur et apprenants afin d’échanger sur les éventuelles incompréhensions et questions qui auraient pu naître lors de l'apprentissage.
Le formateur doit posséder des compétences en matière d’ingénierie pédagogique afin d’élaborer, par le biais de ses connaissances, des exercices pratiques, des mises en situation et des jeux pédagogiques pour former l’apprenant à des situations réelles qu’il rencontrera dans son métier.
En tant que modèle, le formateur doit posséder de bonnes capacités orales et faire preuve d’un écrit irréprochable, sans utiliser de fautes d’orthographes dans ses textes.
Pour conclure, la profession de formateur est un métier riche, qui nécessite de nombreuses qualités pour pouvoir transmettre des compétences opérationnelles à des apprenants adultes.
Pour être le maître d’un apprentissage, le formateur doit maîtriser et partager ses connaissances de manière claire afin d’offrir un apprentissage de qualité en présentiel ou à distance. Pour finir, le métier de formateur est un métier qui demande une perpétuelle remise en cause de ses connaissances par un processus de recherche et de mise à jour grâce à l’actualité.

Depuis la crise sanitaire liée au COVID-19, le télétravail s’est imposé comme une nouvelle norme dans de nombreuses entreprises. Ce mode d’organisation, autrefois réservé à certaines professions ou situations particulières, s’est généralisé à une vitesse remarquable. Il présente des avantages indéniables, mais aussi de nouveaux défis pour les managers et les équipes. S’adapter au travail à distance ne va pas de soi. Cela demande un véritable effort d’organisation, de communication, et de gestion de la charge de travail. Le télétravail permet avant tout de gagner du temps. En supprimant les trajets domicile-travail, les salariés retrouvent un équilibre entre vie professionnelle et personnelle, souvent plus difficile à atteindre en présentiel. Il offre aussi davantage de flexibilité, permettant aux collaborateurs de mieux organiser leurs journées. Cependant, ces bénéfices peuvent rapidement s’estomper si le cadre n’est pas bien défini. À distance, certains salariés peuvent se sentir isolés, perdre en concentration, ou souffrir d’une baisse de motivation. Le manque d’échanges informels, la surcharge mentale ou encore les difficultés de communication peuvent vite peser sur la performance globale de l’équipe. C’est pourquoi il devient essentiel de former les collaborateurs aux bonnes pratiques du télétravail. Il ne suffit pas de s’installer avec un ordinateur chez soi. Travailler efficacement à distance nécessite de développer des compétences précises.

Pas besoin d’être ingénieur pour saisir ce qui se cache derrière ces termes On les voit partout : dans les titres de presse, les présentations PowerPoint, les offres d’emploi, les posts LinkedIn parfois un peu trop enthousiastes… "Intelligence Artificielle", "Machine Learning", "Deep Learning". Des mots qui sonnent futuriste, technique, parfois un peu effrayant. Et qui sont souvent utilisés comme s’ils étaient interchangeables. Mais alors, est-ce que tout cela veut dire la même chose ? Pourquoi parle-t-on tant de deep learning maintenant, alors que l’IA existe depuis les années 1950 ? Le machine learning, c’est quoi exactement ? Et où se situent ChatGPT, Siri ou les voitures autonomes dans tout ça ? Si ces questions vous trottent dans la tête, vous êtes au bon endroit. Pas besoin d’un doctorat en informatique : dans cet article, vous trouverez une explication claire, imagée et humaine, pour enfin mettre un peu d’ordre dans ces concepts. L’intelligence artificielle : le grand tout L’intelligence artificielle ( IA ) est le terme le plus large des trois. Il désigne une branche de l’informatique qui cherche à créer des systèmes capables de reproduire, imiter, ou simuler certaines formes d’intelligence humaine. L’idée n’est pas nouvelle. Dès les années 1950, des chercheurs comme Alan Turing ou John McCarthy se demandaient s’il était possible de programmer une machine pour qu’elle "pense" ou "apprenne". Concrètement, l’IA englobe toutes les techniques qui permettent à un ordinateur de résoudre des problèmes de manière "intelligente" : Prendre des décisions Comprendre un langage naturel Reconnaître une image Établir des prédictions Gérer des situations complexes Exemples classiques d’IA : Un logiciel qui joue aux échecs Un assistant vocal qui comprend vos commandes Un chatbot qui répond à vos questions Un système qui détecte des fraudes bancaires L’IA ne désigne donc pas une technique unique, mais un domaine entier , qui comprend une multitude d’approches. Et c’est là qu’entre en scène… le machine learning . Le machine learning : quand les machines apprennent Dans les débuts de l’IA, les machines fonctionnaient principalement sur des règles codées à la main : "Si l’utilisateur dit A, alors fais B". Mais très vite, cette méthode a montré ses limites : trop rigide, trop longue à programmer, et surtout, incapable de gérer des situations imprévues. C’est là qu’arrive le machine learning , ou apprentissage automatique. L’idée principale du machine learning est simple : On ne programme plus la machine pour qu’elle agisse. On lui fournit des données, et c’est elle qui apprend à agir en analysant ces données. Un peu comme un enfant qui apprend à reconnaître un chat en voyant plusieurs chats, au lieu de se faire expliquer ce qu’est un chat avec une liste de critères précis. Le machine learning repose donc sur des algorithmes qui s’entraînent à partir de données (textes, chiffres, images, etc.), et qui s’ajustent au fil du temps pour donner des résultats de plus en plus précis. Exemples d’usage du machine learning : Prédire le prix d’un bien immobilier à partir de données historiques Recommander des films ou des produits sur une plateforme (Netflix, Amazon) Classifier des emails en "spam" ou "non spam" Détecter des anomalies dans une chaîne de production C’est efficace, souple, et surtout... ça peut s’améliorer avec le temps. Et parmi les techniques de machine learning, une famille a pris une ampleur considérable ces dernières années : le deep learning . Le deep learning : l’IA qui s’inspire du cerveau humain Le deep learning , ou apprentissage profond, est un sous-ensemble du machine learning. Ce qui le rend particulier, c’est qu’il repose sur une architecture inspirée du cerveau humain : les réseaux de neurones artificiels . Pour faire simple, imaginez un ensemble de "couches" de neurones (des petits programmes simples) connectés entre eux. Chacun traite une petite partie de l'information, puis la transmet à la couche suivante. Quand ces couches sont nombreuses, d’où le terme "deep", le système devient capable de reconnaître des motifs complexes dans des données brutes, sans qu’on ait besoin de lui dire précisément quoi chercher. C’est cette technologie qui a permis : À Google de traduire des langues avec une précision incroyable À des intelligences artificielles de battre les meilleurs joueurs de Go À des voitures autonomes de repérer les piétons et les panneaux À des modèles comme ChatGPT ou Midjourney de générer du texte, des images, voire de la vidéo Le deep learning est très gourmand en données et en puissance de calcul , mais il offre des performances spectaculaires, surtout dans les domaines comme la vision par ordinateur, la reconnaissance vocale, ou le traitement du langage naturel. Résumons visuellement : Voici une petite analogie pour clarifier : java CopierModifier Intelligence Artificielle (IA) └── Machine Learning (ML) └── Deep Learning (DL) IA : tout système qui imite une forme d’intelligence (large) ML : des systèmes qui apprennent à partir de données (plus spécifique) DL : une méthode de ML basée sur les réseaux de neurones profonds (encore plus spécifique) Pourquoi tout le monde parle aujourd’hui de deep learning (et pas juste d’IA) ? Parce que ce sont les avancées du deep learning qui ont permis les plus grandes révolutions de l’IA moderne : Traduction automatique de qualité Voitures autonomes Diagnostic médical assisté par IA Génération de contenu avec ChatGPT, DALL·E, etc. Mais attention : toutes les intelligences artificielles n’utilisent pas forcément du deep learning. Parfois, une IA basée sur des règles simples ou sur du machine learning "classique" est bien plus adaptée. Tout dépend du contexte, des objectifs, et des ressources disponibles. En conclusion : pourquoi c’est important de comprendre ces différences Comprendre ce que signifient IA, machine learning et deep learning, ce n’est pas juste pour briller dans un dîner ou sur LinkedIn. C’est essentiel pour : Poser les bonnes questions quand on vous parle d’un "produit à base d’IA" Distinguer les vraies innovations des effets de mode marketing Anticiper l’impact de ces technologies dans votre métier, votre secteur, votre quotidien Car l’intelligence artificielle n’est pas un bloc monolithique. C’est un écosystème technologique complexe , en constante évolution. Plus vous comprenez les briques qui le composent, plus vous pouvez vous positionner en acteur (et pas juste spectateur) de cette transformation. Retrouvez toutes nos formations en IA ici

L’intelligence artificielle (IA) transforme le monde et modifie totalement nos pratiques professionnelles. Elle offre une opportunité précieuse à celles et ceux qui savent l’exploiter. Parmi les outils les plus utilisés, ChatGPT et les technologies d’ IA générative se positionnent comme des leviers d’efficacité, de créativité et de croissance personnelle. Parvenir à les dompter fera sans aucun doute la différence dans votre parcours professionnel. L’IA générative, c’est quoi exactement ? Quand on parle d’IA générative, on pense à des outils capables de créer du contenu à partir d’une simple consigne . T exte, image, vidéo, code informatique… tout devient accessible. ChatGPT, développé par OpenAI, en est l’un des représentants les plus connus. Il peut rédiger un mail, créer un plan marketing, expliquer un concept complexe ou même simuler un entretien d’embauche. Mais derrière la simplicité d’utilisation se cache un levier de productivité et d’adaptabilité qui peut vraiment faire la différence dans une carrière. Pourquoi apprendre à utiliser ChatGPT ? 1. Gagner du temps sur les tâches répétitives Que vous soyez cadre, entrepreneur ou étudiant, ChatGPT peut vous aider à automatiser des tâches chronophages : rédaction d’e-mails, synthèse de documents, création de contenu ou génération de scripts. Cela libère du temps pour vous concentrer sur des activités à forte valeur ajoutée. 2. Améliorer la qualité de vos productions Grâce à ses capacités linguistiques et son accès à des milliards de données, ChatGPT peut vous assister dans la relecture, la traduction, la rédaction de rapports ou même la création de plans de projet. Il devient un assistant virtuel qui enrichit vos idées et structure vos pensées. 3. Booster votre créativité L’IA générative n’est pas seulement fonctionnelle, elle est aussi inspirante. Elle peut suggérer des idées d’articles, des concepts marketing, des approches pédagogiques ou des scénarios innovants. Elle stimule votre créativité en vous sortant des sentiers battus. 4. Développer de nouvelles compétences Savoir interagir efficacement avec un agent conversationnel est une compétence recherchée. Apprendre à écrire des prompts pertinents, analyser les résultats générés, affiner les réponses… tout cela fait partie d’un nouveau savoir-faire numérique très valorisé. Dans quels métiers l’IA générative est-elle un atout ? L’impact de ChatGPT ne se limite pas aux métiers techniques. De plus en plus de professions intègrent l’usage de l’IA : Marketing digital : création de contenus, campagnes automatisées, SEO Ressources humaines : tri de CV, rédaction de fiches de poste, aide au recrutement Éducation et formation : création de supports pédagogiques, tutoriels personnalisés Développement informatique : génération de code, documentation Journalisme et communication : rédaction d’articles, titres, scripts vidéo Les bonnes pratiques pour tirer le meilleur de l’IA Utiliser l’intelligence artificielle, ce n’est pas juste cliquer et espérer le meilleur. Pour que les résultats soient vraiment utiles, il y a quelques habitudes simples à prendre. D’abord, il faut être clair dans ce qu’on demande. Une question trop vague, c’est un peu comme donner des directions floues à quelqu’un qui ne connaît pas la route : vous risquez d’avoir une réponse à côté. Plus vous êtes précis dans vos demandes, plus l’IA vous proposera des réponses pertinentes, et parfois même étonnamment fines. Ensuite, ne vous arrêtez pas à la première réponse. C’est souvent en ajustant un mot, en reformulant une phrase ou en précisant un objectif qu’on obtient exactement ce qu’on cherche. L’IA, ça se pilote. Et ça s’apprend en testant, en affinant, en osant explorer plusieurs pistes. Mais attention : ce n’est pas parce que c’est bien écrit que c’est forcément vrai. L’IA ne sait pas toujours faire la différence entre une info exacte et une erreur bien formulée. Sur tout ce qui touche à l’actualité, aux données précises ou aux faits sensibles, mieux vaut garder un œil critique et vérifier. Enfin, il faut garder à l’esprit que ces outils ne sont pas là pour penser à votre place. Ce sont des assistants, pas des remplaçants. Votre regard, vos idées, votre jugement : c’est ça qui fait la vraie valeur de votre travail. L’IA vient juste donner un coup de main pour aller plus vite, ou plus loin. L’IA ne remplace pas l’humain, elle l’augmente Contrairement aux idées reçues, l’IA ne vise pas à remplacer les professionnels mais à augmenter leur intelligence et leurs capacités. Celles et ceux qui sauront s’en servir deviendront plus agiles, plus efficaces, et plus compétitifs sur le marché de l’emploi. Dans un monde en constante évolution, la maîtrise de l’intelligence artificielle générative comme ChatGPT n’est plus une option, c’est une nécessité. Que vous soyez salarié, indépendant ou en reconversion, prendre le temps de vous former à ces outils peut transformer votre trajectoire professionnelle. L’IA n’est pas l’avenir, elle est déjà le présent. Et c’est à vous d’en faire un atout. 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Aujourd’hui, savoir manier les outils de design graphique, c’est presque aussi essentiel que savoir écrire un mail ou créer une présentation PowerPoint. Mais créer de vrais supports de communication efficaces, des visuels structurés, pensés pour un public ciblé, c’est un autre niveau. Et c’est exactement ce que propose notre formation « Créer des supports de communication avec un outil de design graphique à distance » proposée par notre organisme de formation LESPRATIQUES . Que vous soyez entrepreneur, freelance, ou même salarié·e dans une TPE/PME, vous allez vite comprendre pourquoi cette formation est utile, bien conçue… et surtout, accessible . Une formation pensée pour tout le monde La formation s’adresse à des profils très variés : pas besoin d’être graphiste ou de savoir manier Photoshop comme un pro. Elle s’adresse aux communicants du quotidien : ceux qui doivent produire une affiche pour un événement, créer un carrousel Instagram pour leur entreprise, ou encore mettre en forme une newsletter pour un public interne. On y apprend à faire simple, beau, et surtout, efficace. Canva est au cœur de la pédagogie : un outil intuitif, visuel, puissant, et accessible. En parallèle, vous découvrirez comment utiliser l’intelligence artificielle pour aller plus loin, comme générer des idées de visuels avec ChatGPT, ou utiliser l’IA native de Canva pour transformer un prompt en design prêt à l’emploi. La formation est 100 % à distance , ce qui permet de la suivre à son rythme. Elle s’étale sur environ 3mois, avec 35 heures au total, dont 12 heures en tutorat individuel . Une vraie montée en compétences, sans jargon ni complexité inutile Le cœur de la formation, c’est une montée en compétences progressive : on commence par revoir les bases de la communication visuelle (c’est fou ce qu’on oublie parfois), et on avance doucement vers la maîtrise d’un outil graphique (comme Canva, Adobe Express ou autre) selon ses besoins. Parmi les sujets abordés : Comment choisir les bons visuels et les harmoniser L’importance de la hiérarchie visuelle (spoiler : ça change tout) Les bases de la typographie, des couleurs, des formats Et surtout, comment utiliser des outils d’intelligence artificielle pour générer des visuels originaux en quelques clics Un vrai accompagnement, pas juste une formation vidéo de plus Le gros plus ? Le format blended learning. Ce n’est pas juste une série de vidéos à regarder dans son coin. Il y a une plateforme e-learning bien pensée, des ressources claires, des exercices pratiques, et surtout un formateur qui suit votre progression, corrige vos créations, vous pousse à aller plus loin. On n’est jamais seul·e dans son apprentissage. Et c’est ce qui rend cette formation particulièrement motivante et humaine. Une certification à la clé, et un vrai boost de crédibilité À la fin de la formation, si vous le souhaitez, vous pouvez passer une certification reconnue par France Compétences (RS7068). Cela peut faire une vraie différence, que ce soit pour valoriser vos nouvelles compétences sur LinkedIn, dans votre CV ou auprès de vos clients. Autre point non négligeable : la formation est éligible au CPF . En résumé : une formation utile, concrète, et tournée vers l’avenir Si vous cherchez à : Créer des visuels pros sans forcément passer par une agence, Maîtriser un outil de création graphique simple et puissant, Comprendre les bases du design visuel et de la communication graphique, Et expérimenter des outils d’IA sans tomber dans les pièges habituels... Alors cette formation mérite clairement votre attention. On en ressort non seulement avec des compétences, mais aussi avec de l’assurance. Et franchement, en matière de communication, ça n’a pas de prix. 👉 Pour en savoir plus ou vous inscrire, ça se passe ici : Créer des supports de communication avec un outil de design graphique à distance Si vous avez des questions ou hésitez encore, n’hésitez pas à nous contacter. Découvrez l'ensemble de nos formations en Intelligence Artificielle ici .